Les quatre coins du triangle

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il y a 3 ans

Nous sommes en auto et nous nous dirigeons vers un lieu qui t’es inconnu. La voiture quitte soudain l’autoroute avant de franchir un viaduc qui la surplombe, tournant vers l’ouest. Nous cheminons durant quelques minutes, puis à un carrefour signalé par un arrêt, je tourne à gauche pour m’engager dans une rue en cul-de-sac. Je scrute les adresses, cherchant celle qui m’est connue.

Une fois arrivés, je dépasse le bungalow, puis tourne dans l’aire de stationnement qui, étonnamment s’avère très vaste pour une simple résidence. Il ne s’y trouve actuellement qu’un seul véhicule, un 4X4 de couleur noire, pas trop récent. J’arrête le moteur et je jette un regard de ton côté, te trouvant un peu inquiète. Tout le long du trajet, je n’ai pas fait mention de notre destination, ni de ce qui allait s’y produire. J’ouvre la portière, la verrouille avant de la refermer, puis je fais le tour de la voiture pour ouvrir la tienne. Je ne dis rien, mais je te tends la main et tu descends à ton tour, silencieuse. Après avoir fermé la portière, je te désigne la maison où nous voyons une porte-fenêtre sur le côté. Quelqu’un se trouve derrière, mais on ne la distingue pas vraiment. Nous nous approchons et la porte-patio glisse, révélant davantage celle qui habite les lieux.

C’est une femme en fin de trentaine, un peu ronde, aux yeux bleus et à la chevelure blonde aux épaules ; elle nous sourit d’un air amène.

  • Bonjour, dit-elle. Je vous attendais !

Je fais rapidement les présentations, puis notre hôtesse propose de nous faire visiter la maison. De l’entrée, nous voyons la cuisine et la salle à manger. Nous passons tour à tour au salon, puis aux chambres. Tu es étonnée de constater que tous les murs et plafonds, sauf ceux de la cuisine, sont recouverts de miroirs enjolivés de boiseries. Tu en demandes la raison et, étouffant un petit rire gêné, notre hôtesse t’apprend que, jadis, cette résidence a servi de lieu de rassemblement pour un club d’échangistes, maintenant dispersé. Elle glousse en faisant cette confidence et nous aussi. Elle précise n’avoir racheté la maison qu’après la dissolution du club. Dans sa chambre, elle nous montre le clou de son ameublement, un lit d’eau anti-vague, nous expliquant ne pouvoir trouver le repos sans cet accessoire magnifique. Nous sortons de la chambre pour passer à une autre où se trouve son ordinateur, autre accessoire qu’elle affectionne beaucoup et qui lui permet d’échapper à sa solitude.

Ayant exploré tout le rez-de-chaussée, notre hôtesse ouvre une porte, révélant un escalier qui descend vers le sous-sol. Nous nous y engageons à sa suite, découvrant que cet espace ne le cède en rien à ce que nous avons vu plus haut. La pièce s’avère très vaste, également recouverte de miroirs et de fines boiseries. Des projecteurs, pour l’instant éteints, peuvent éclairer la partie centrale, en podium, qui peut vraisemblablement servir de piste de danse lors de soirées. Notre hôtesse se plaint du fait qu’elle a dû sacrifier tout le mobilier rouge qui ceinturait les murs lorsqu’elle a fait faire des travaux de consolidations l’an dernier.

Ce fut le prix à payer pour enfin voir la lumière au bout du tunnel. Heureusement, rien ne paraît et les ouvriers ont fait de l’excellent travail pour rénover les lieux. Nous marchons d’une zone à l’autre, impressionnés, finissant par nous poster sur le podium, l’aire centrale permettant d’apprécier l’ensemble de la grande pièce.

Je m’éloigne un peu de toi, sentant le moment approcher. Je lorgne du côté de notre hôtesse et lui fais un léger clin d’oeil ; tu n’as rien remarqué, trop occupée à regarder autour de toi. Sans faire de bruit, je quitte le podium, rejoignant notre amie, puis me tournant vers toi. Tu ne t’es toujours pas aperçue de mon absence et j’en suis assez satisfait, savourant à l’avance ta surprise.

Soudain, je t’appelle : - Irène !

Tu bondis presque, tremblante et intriguée de percevoir ma voix d’aussi loin. Tu fais mine de nous rejoindre, mais je t’arrête d’un signe de la main, ajoutant : - Restes où tu es !

Tu demeures au centre du podium et je te sens de nouveau inquiète. Ignorant ton regard suppliant, je me tourne vers notre hôtesse, lui sourit, puis je te jette un regard un peu dur, ne tolérant pas de réplique, ordonnant : - Irène, déshabilles-toi !

Malgré l’obscurité relative, je te sens rougir de honte. Que vas-tu faire? Te rebeller ? Je sais bien que non, malgré l’humiliation que tu vas ressentir en procédant à ce strip-tease improvisé. Après un moment d’indécision, tu commences ta prestation. Tu déboutonnes ton veston et tu le fais glisser, cherchant un meuble pour le déposer, mais n’en trouvant pas à proximité.

  • Jettes-le par terre !

Tu n’aimes guère cela, mais tu n’as pas le choix. Mon ordre est trop catégorique. Vaincue, tu baisses le bras tenant le veston et tu le laisses glisser par terre.

  • Irène, dépêches-toi ! dis-je .

Prise en défaut, tu t’actives à déboutonner les boutons de ta blouse, en commençant par le haut. Tu baisses les yeux, cherchant à éviter nos regards, surtout ceux de notre hôtesse. Je ne cherche pas à te prendre en défaut car j’imagine bien la gêne que tu peux éprouver actuellement. Totalement déboutonnée, la blousse glisse le long de tes bras, lentement et elle va rejoindre le veston par terre. Tu t’actives maintenant à dégrafer ta jupe, puis abaisser la fermeture-éclair. La jupe chute au sol et tu t’en libères en faisant deux pas par en avant. Tu t’arrêtes, espérant un peu que je mette fin à ton humiliation, mais aujourd’hui, je me sens particulièrement pervers. Aussi, je demande un surcroît de honte :

  • Mets-toi à genoux pour la mise à nue !

Tu sursautes comme si tu avais été giflée, mais tu adoptes servilement la position exigée. Je réitère mon ordre premier :

  • Irène, déshabilles-toi !

Cette fois, tu ne m’obliges pas à te f o r c e r. Tes bras passent derrière et défont l’agrafe du soutien-gorge. Le sous-vêtement glisse de tes épaules et tu le récupères d’une main, le jetant négligemment de côté. Sans attendre, tu glisses tes doigts dans l’élastique de ta culotte que tu écartes pour l’abaisser à mi-cuisse. Au prix de gestes malhabiles ,peut-être à cause de ta nervosité (ou encore de ton excitation), tu t’en libères finalement .Tu es nue devant nous, tremblante de honte. Suis-je satisfait ? Pas encore !

  • Irène, écartes les cuisses !

Tu déplaces une cuisse de côté, révélant ta chatte glabre. Notre hôtesse pousse une exclamation en découvrant cette particularité de ton anatomie. J’ordonne de nouveau :

  • Irène, regardes-nous !

Très lentement, tu lèves les yeux, cherchant surtout à éviter ceux de notre hôtesse. Malgré tout, tu ne peux éviter de lorgner de son côté et tu la découvres complètement éberluée par ton spectacle indécent. Sans dire un mot, nous nous approchons de toi, montant sur le podium. Je t’interroge :

  • Qui es-tu, Irène ? Sans chercher à gagner du temps, tu me réponds :

  • Je suis ton esclave sexuelle, Maître !

  • Alors, mets-toi à quatre pattes, esclave !

Tu obéis, presque prosternée devant nous. Je m’approche de toi, jusqu’à te toucher. Je caresse doucement ta peau frémissante, ton dos, tes fesses. Je me penche et j’effleure tes seins qui pendent de manière totalement obscène. Doucement, je demande :

  • Maintenant, tu vas avancer comme ça...

Tu te mets en mouvement, les yeux rivés au sol, imaginant sans peine les sentiments qui peuvent animer notre hôtesse.

Soudain, tu aperçois une chaussure de femme devant toi et tu t’arrêtes, te demandant quoi faire devant cet obstacle. Je décide pour toi :

  • Baises-lui les pieds !

Heureusement, ses chaussures sont exemptes de poussière et tu les baises du bout des lèvres, ne sachant trop ce que tu pourrais faire d’autre. Tu demeures interdite, attendant un nouvel ordre de ma part. M’adressant cette fois à notre hôtesse, je constate :

  • N’est-ce pas qu’elle est bien dressée ?

  • Oui, je n’en reviens pas !... Je peux la toucher ?

  • Naturellement !

Sa main s’avance, tremblante autant que ton propre corps et imitant mes propres gestes, elle palpe ton dos, tes fesses et tes seins.

  • Elle est toute chaude, déclare notre amie.

  • Oui, elle est très excitée quand on l’humilie de cette façon.

  • C’est vrai ? Je suis vraiment surprise !

  • On peut lui faire beaucoup de choses, tu sais...

Toi, tu restes immobile, craignant qu’on ne t’oblige à quelque nouvelle action indécente. Au bout d’un moment, tu sursautes car à côté de toi vient de tomber au sol un chandail, un chandail définitivement féminin !

Récit de l'esclave

Encore à genoux, je te cherchais du regard, je ne te vois pas mais je sens ta présence derrière moi, notre hôtesse s’éloigne, d’un pas assuré et se dirige vers un petit placard, elle en ressort une petite valise de cuir noir, revient, et pour la première fois, je remarque son buste, un peu lourd, mais qui paraît encore ferme. Je suis de plus en plus inquiète, mais ma chatte ne peut s’empêcher de mouiller. Elle te rejoint, pose la valise à tes pieds, l’ouvre et tous deux regardez son contenu. Tout d’un coup, ta voix se fait ressentir derrière moi :

  • Renée tourne-toi !

  • Oui maître !

Je me retourne toujours à quatre pattes, mes genoux se font un peu douloureux. Quand j’ai fini de faire un demi-tour sur moi, et que je suis face à vous, je remarque que vous avez posé par terre, quelques instruments. Notre amie te regarde et te demande :

  • Je peux ?

Toi, tu la regardes avec ton sourire qui m’inquiète toujours dans de tels moments et tu lui réponds :

  • Bien sûr, elle est à toi, je te l’offre ce soir pour ton anniversaire, tu en fait ce que tu veux.

Elle te regarde avec un sourire de satisfaction bien évident, elle te remercie, en te promettant que tu auras une belle mise en scène. Elle se penche, prend un fouet dont le manche en cuir est garni de deux lettres dorées. Elle me dit :

  • Irène, relèves-toi, et laisses tes jambes ouvertes et tes bras un peu écartés de ton corps !

Moi, je te regarde, tu me fais un signe donc je comprends très bien que je dois lui obéir. Je me relève, prend ma position. Elle, elle s’approche, toujours avec le fouet en main elle passe le manche entre mes cuisses, doucement, moi je baisse les yeux, elle le retire, touche au manche, et elle s’exclame :

  • Ho ! Elle mouille comme une vilaine fille, qu’allons-nous donc lui infliger comme punition ?

Elle te regarde tout comme moi, mes yeux te supplient de prendre pitié. Mais toi, je te sens très excité et tu viens même vérifier ses dire. Tu te rapproches lentement de moi, et là, je sens ta main si familière entre mes cuisses, tu me caresses quelques secondes, puis tu retires ta main, et là, tu dis à notre hôtesse :

  • Oui tu as bien raison ma chère, elle mouille comme une fontaine, et je ne lui ai pas donné la permission, de mouiller.

Tu me fixes droit dans les yeux et tu me gifles. De ma gorge serrée par l’émotion, un bruit sourd , mais audible sort de mon être et je sais que mes cris de douleur t’excites . Là, pour la première fois je t’entends prononcer le nom de celle qui vas me t o r t u r e r :

  • Karrine, elle mérite d’être punie !

Ses yeux font le tour de la pièce et soudain elle sourit. Ses regards veulent tout dire : elle a trouvé comment me châtier. Moi, je me balance sur un genou et puis sur l’autre, et vlan..une autre gifle de ta part.

  • Irène, arrêtes de te balancer comme ça, tu aggraves ton cas !

Karrine te fais signe de la rejoindre, vous discutez 3 ou 4 minutes, vous me regardez, vous vous rapprochez de moi.

  • Irène, dis-tu. Suis Karinne ce soir car elle est ta Maîtresse aussi, tu dois lui obéir comme tu le fais si bien pour moi.

Je suis Maîtresse Karinne. Me lever est un peu difficile, car j’ai les genoux qui me font mal, je chancelle un peu et Karinne s’en aperçoit :

  • Ho ! Pauvre petite, elle a de la misère à marcher, je crois que je vais l’aider un peu à mieux se tenir !

Elle prend le fouet et d’un élan et d’une précision professionnelle le coup atteint mon sein droit et un cri sort de ma gorge. Elle ne passe pas de remarque sur ma plainte, mais je vois qu’elle n’est pas satisfaite de moi.

  • Marc, tu ne lui as jamais appris à dire merci à cette chatte en chaleur?

  • Bien sûr que oui ! Je lui ai montré, mais je dois souvent lui renouveler la mémoire, mais ne t’en fais pas car elle aime ça !

  • Irène, tu vois la table là-bas ? Rends-toi là et étends-toi dessus jambes et bras en croix !

  • Marc, mon très cher ami, tu vois un oeillet à la patte de la table ?

Tu fais signe que oui.

  • Fais donc un bon noeud avec la corde, tu serais très gentil...

  • Bien sur ma douce Karinne !

Tu me regardes en prononçant ces mots, car tu sais que je suis jalouse quand tu es avec une autre femme, mais tu prends un malin plaisir à m’humilier ainsi. Tu ne te fais pas prier pour faire ce noeud mais tu fais durer le plaisir, tu prends tout ton temps, tu vois même que ton amie Karrine s’impatiente, moi je le sens bien que pour toi c’est une autre jouissance que de te voir comme ça , jouer avec la corde, nerveusement, et sondant ton regard, comme si elle le savait qu’elle est à ta merci aussi. Elle n’ose pas dire un mot, de peur que tu lui rappelles que je t’appartiens à toi et que moi, pour elle, je ne suis qu’un jouet, que tu lui retireras quand bon te semblera. Enfin, tu dis :

  • Ma chère Karinne, c’est fait.

  • Merci, Marc , tu voudrais bien l’asseoir, elle sera belle assise, jambes écartées, pendant que je lui passe le lacet autour du corps.

  • Avec plaisir...

Tu me prends doucement par les épaules, me soulèves , tes mains sont encore sur mes épaules, elle sont moites, tu et excité par cette situation, du revers de la main celle où tu portes une bague d’un vert émeraude, tu me caresses le bras, ta bague laisse des sillons rouges, Karinne se rapproche pour mieux examiner, elle met un doigt dans sa bouche et le fait glisser sur mes rougeurs. Tu la regardes aller et moi aussi, toi, de satisfaction, moi avec crainte. Je devine qu’elle a le goût du s a n g .

  • Marc, dit-elle. Tu voudrais recommencer sur un sein, mais un peu plus fort?

  • Tu sais bien, Karinne, que je ne peux presque rien te refuser ce soir !

Un sourire presque diabolique est apparu sur le visage de notre hôtesse, ses yeux aussi sont devenus étincelants. De ta main droite, tu soulèves mon sein gauche, et de la droite, tu recommences le manège de tout à l’heure, mais là, tu f o r c e s un peu plus en ajoutant de la pression. Tu as commencé par la base du sein près de l’aisselle et tu remontes vers le mamelon, tu recommences, mais de l’autre coté du sein, quelques gouttes perlent sur mon sein, qui me brûle de douleur. Si seulement nous étions seuls, toi et moi, jamais tu ne te laisserais aller dans des fantasmes si cruels à mon égard. Je crois que cette femme a vraiment un grande influence sur toi, mon Maître.

Karinne se rapproche de moi, tu lui cèdes la place sans qu’elle te le demande, tu recules de quelques pas, mais tu ne perds rien de se qui se passe. Elle touche doucement les sillons que tu as fait sur mon sein, délicatement elle passe et repasse ; elle approche son visage de mon sein, sort la langue et lèche toutes les gouttes de s a n g qui coulaient en laissant leurs traces. Soudain, le timbre d’une cloche se fit ressentir, Karinne, d’un air furieux se dégagea de moi et alla vers un téléphone qui trônait sur un guéridon, tout près. Elle nous revient et nous annonce qu’elle a un invité spécial qui vient tout juste d’arriver en ville. Tu lui demandes de qui il peut bien s’agir ; elle te sourit et te dit :

« le Maître des Maîtres », un formateur, un Maître de la race des seigneurs.

Là, tu ne dis plus un mot, tu recules même de quelques pas. Vous avez l’air de m’avoir oubliée, mais moi, je sais que ce qui m’attend sera pire que si nous étions restés seuls tous les trois. Malgré ma peur déjà intense mon regard se tourne va de toi vers elle, mais pour vous deux, je n’existe plus, juste la peur pour vous aussi. J’aurais voulus crier :

« hé ! je suis là moi aussi, ne m’oubliez pas, délivrez-moi” Mais je savais par habitude que ça ne servait à rien.

Un majordome que nous n’avions pas vu à notre arrivée fit entrer un homme qui ne me semblait pas imposant. Mais son visage, même s’il arborait un sourire, témoignait d’une certaine virilité, barbe bien taillée ; ses yeux nous obligeaient à baisser les nôtres. Il s’approcha d’un pas assuré de notre hôtesse Karinne et il lui tendit la main qu’elle baisa servilement. Malgré mon insupportable position, j’observais et fus très surprise qu’une domina de sa trempe s’abaissa à baiser les mains d’un autre Maître. Maîtresse Karinne présenta son invité à mon Maître :

  • Marc je te présente Maître André !

Marc se contenta de serrer la main du nouvel arrivant comme deux hommes du monde. Maître André le regardait droit dans les yeux et, de son sourire rieur, lui dit :

  • Enchanté !

Mon Maître lui répondit d’un ton sec et froid. De même, j’ai ressenti une antipathie naturelle de mon Maître envers Maître André. Je connaissais de réputation ce « Maître André », tout comme Marc sans doute et je me doutais bien qu’il n’aimait pas cet homme qui lui était amplement supérieur, de toute évidence.

Maître André cessa de s’intéresser à Marc pour concentrer son attention sur ma petite personne. Comme je le craignais, son regard se posa sur moi, il s’approcha d’un pas assuré, me regarda avec un certain amusement. Il regarda successivement Karrine et Marc et les regardait d’une étrange façon.

  • Quel est cette jolie petite chose qui tremble comme un feuille d’automne ?

Il vit le pardessus de mon Maître sur le dos d’une chaise, s’en empara et me le mit sur le dos. Cette chaleur me réchauffa un peu, j’ai crû enfin mon calvaire pour aujourd’hui terminé. J’ai pensé :

  • Ce sont les Maîtres qui vont se faire mater ! souris-je intérieurement.

Maître André m’adressa alors la parole :

  • Quelle est ton nom, petite?

  • Irène, Maître !

  • Qu’as-tu fait pour mériter ce traitement ?

  • Rien Maître, je suis le cadeau d’anniversaire de Maîtresse Karinne !

Il passa sa main sur mon visage, le caressa ; sa main étais douce et chaude , je me suis sentie bien , en confiance. Il s’adressa alors à notre hôtesse :

  • Comme ça c’est ta fête Karinne?

  • Oui Maître !

  • Pourquoi n’ai je pas été invité?

  • Maître, je ne savais pas qu’une simple séance de rien du tout pouvait vous intéresser...

  • Bien sûr que oui, ma chère, quand il s’agit de toi, tout m’intéresse !

  • J’en suis désolée, Maître, ça ne se reproduira plus !

  • Je l’espère ma belle ! Es-tu prête à te faire pardonner Karinne?

  • Tout ce que vous voulez, Maître !

  • Alors, ton cadeau est pour moi...

  • Avec grand plaisir, Maître, je suis certaine que Marc n’y voit pas d’inconvénient...

Mon Maître, je le voyais bien n’était pas trop d’accord avec ce marché, mais ne pouvait que lui répondre :

  • Ma soumise vous appartient pour aujourd’hui, Maître...

  • Bien, très bien, mes amis ! rugit Maître André.

Il regarda Maîtresse Karrine, lui fit juste un signe des yeux et d’un doigt. Moi je n’ai rien compris au début, mais elle s’approcha de lui et commença doucement, comme une cérémonie. Elle entreprit de le déshabiller ; chaque mouvement était calculé minutieusement. Elle mit ses vêtements bien posés sur une chaise.

  • Ho ! quel beau corps ! me suis-je dit.

Je n’avais qu’à le regarder pour que ma chatte se mette à couler. Il ordonna à mon Maître de me libérer, ce qu’il fit tout de suite ; une fois libérée, il leur ordonna de me masser là où étaient les liens, pour me soulager de mes douleurs, ce qui me surprit, moi Irène, soumise aux bons soins de pas un, mais deux Maîtres ; je n’en croyais pas mes yeux, mon corps non plus. Ils commencèrent à masser avec dureté mes poignets, et mes chevilles, mais Maître André prit une cravache qui n’était pas loin et il la passa gentiment mais fermement sur le dos de ces deux Maîtres. Ils comprirent très vite d’aller plus doucement avec moi. Alors il changea leurs méthode de massage, et passa à la douceur, ce qui me fit un grand bien et remis ma circulation s a n g u i n e en bonne marche.

  • Irène, tu as déjà eue l’idée de devenir Domina d’un soir?

  • Non, bien sûr que non, Maître !

  • Et si je t’en donnais la possibilité, tu aimerais?

  • Maître, je ne peux me le permettre, mon Maître Marc, ne le voudrait certainement pas !

  • Ce soir, tu n’as que moi comme Maître, compris tous? Je baissais les yeux et lui répondis :

  • Oui, Maître !

Les autres acquiescèrent, mais sans convictions. Alors là, tout basculait pour moi, ma vie de soumise, je dus l’effacer, l’oublier pour les quelques heures qui allaient suivre. Mais les autres ne devaient pas être à la fête ! Je voyais bien que ça bouillonnait dans leur tête. Mais je n’y pouvais rien puisque les ordres étaient les ordres...

  • Tu vas mieux, Irène ?

  • Oui, bien sûr, Maître ! Alors ce fut dès ce moment que je pris conscience de ce qui m’arrivait. Maître André s’adressa à Marc et Karrine d’une voix peu amène :

  • Bon ! à vous deux maintenant, pas de faux pas sinon moi et Irène nous allons sévir.

Jamais au grand jamais je n’aurais crû ça de ma vie : mon Maître qui devenait mon soumis ! Cela me fit peur, mais je me suis eff o r c é e de ne pas le montrer.

  • Irène, déclara Maître André, tu vas attacher les mains de Marc aux anneaux qui sont là. Moi je ferai de même pour Karinne. Et après nous leur attacherons les pieds ensembles !

Je m’exécutai immédiatement, prenant les liens qui servirent auparavant pour moi et j’attachai les mains de mon Maître. Après que Marc et Karinne furent attachés, le Maître me donna une cravache et il dit :

  • Marc et Karinne ! Vous allez demander pardon à Irène et lui dire que vous n’êtes que des chiens et que vous méritez d’être punis...

Je vis que ce n’était pas vraiment du goût de Marc, mais il ne pouvait couper à cette corvée. Après les excuses exigées et leurs humiliations verbales, Maître André me dit :

  • A ton tour, Irène, de punir : tu vas les fesser chacun leur tour, là où tu préfères.

Comme par miracle, j’avais vraiment oublié mon état de soumise et me prenais vraiment pour une Domina. Je m’approchais d’eux, la cravache à la main, et commençai à fesser, pas très fort au début, mais je pris vite le goût. J’aimais les traces rouges que je laissais sur leur corps à ma merci. Le Maître a été obligé de m’arrêter car je ne l’aurais pas fait de moi-même. Il me prit par les épaules, posa ses lèvres dans mon cou et ses mains commencèrent à descendre sur mon corps ; il effleurait mes seins, mes mamelons durcirent très vite. Il me retourna, me fit mettre à genoux et sans qu’il me le demande, je pris son sexe qu’il avait dégainé dans ma main et le portai à ma bouche. Ma langue passa sur son gland, je sentais son sexe gonfler et durcir dans ma bouche. Il me releva et, comme si je ne pesais rien, il me prit par la taille sans me faire de mal et me mit debout au milieu de la table. Là, il ordonna à Karine de me lécher avec douceur. Elle le fit les jambes ouvertes, sa tête entre mes cuisses et elle me passa sa langue sur le sexe ; je ne m’apercevais pas de ce qui ce passait derrière moi, mais j’entendis mon Maître Marc lâcher un cris de douleur et je sursautai. Maître André m’expliqua :

  • Non, non, Irène, ne t’en fais pas, c’est juste Marc qui bandais, et je l’ai fait débander !

Ensuite, Maître André me dit de me retourner et de me rapprocher de Marc, mais en lui montrant mon petit cul ; j’obéis toute suite et là, il ordonna à mon Maître :

  • Rends lui hommage avec ta langue !

Je me suis penchée un peu par en avant et j’ouvris mes fesses avec mes mains, et là, je sentis une langue et un souffle chaud qui caressait mon anus. Je mouillais de plus en plus, à la fois suite aux caresses si indécentes de Marc tout autant que de l’humiliation qu’il devait lui-même éprouver. Maître André approcha sa main et il commença à me caresser là où ma mouille coulait. Il me remit par terre, me coucha sur le sol, et il me pénétra, devant les yeux frustrés de mon Maître et de Maîtresse Karinne. J’étais en extase, me sentait au septième ciel, je me lamentais, je gémissais, je me tortillais et il explosa en moi tandis que je jouissais comme jamais. Quand il est ressorti de moi, il approcha son sexe encore dur de ma bouche pour que je le nettoies. Je ne me fis pas prier, je passai ma langue sur toute sa longueur ainsi que sur ses couilles...;

  • Hummm ! fis-je dans un souffle. Qu’il était bon, Maître André.

Nous nous sommes relevés pour nous approcher de la table et Maître André s’aperçut que mon Maître avait déchargé sur la table pendant notre prestation. Il détacha Karinne, mais il laissa les mains de Marc attachées et il ordonna à notre hôtesse de se mettre à 4 pattes et d’aller nettoyer la table et le sexe de mon Maître avec sa langue.

  • Oufffff ! fis-je pour moi seule.

Elle le regarda avec rage ; ses yeux devinrent comme des poignards. Elle se mit à quatre pattes et elle alla nettoyer la table et le sexe de mon Maître.

  • Maintenant, déclara Maître André, pour finir cette belle soirée, mes amis, c’est à mon tour et à celui d’Irène d’avoir droit à un petit spectacle !

Il détacha mon Maître et leur ordonna de descendre de la table. Il demanda à Maîtresse Karinne de se caresser devant nous pour redonner une bonne érection à mon Maître. Sans demander la permission, j’allai chercher un godemiché, le donnai à Karinne en lui disant de s’en servir. Maître André partit d’un éclat de rire et moi, je me sentis gênée ; il le vit tout de suite, mais il m’a rassurée en me disant :

  • Ne sois pas gênée, Irène, ton idée me plaît, alors Karinne, exécutes l’ordre d’Irène !

Elle commença à se caresser doucement, les seins pour débuter, ce qui me donna une autre idée que j’ai dite à Maître André à l’oreille. Il trouva mon idée excellente encore une fois et m’accorda sa permission. Je suis donc partie chercher des pinces en métal que j’avais aperçues plus tôt et je me suis approchée de Maîtresse Karinne. Là, je lui pris un mamelon entre mes doigts, l’étirai et mis une pince, puis je fis de même pour l’autre sein. Le Maître lui dit de recommencer à se caresser et c’est ce qu’elle fit. Moi, je savais que mon Maître banderait bien vite : les pinces, il a toujours eu un faible pour cette t o r t u r e ! Maîtresse Karinne passa le gode sur sa chatte ; elle était très belle et excitante à voir. J’ai recommencé à mouiller abondamment. Les Maîtres, eux, montrèrent de belles érections, ce qui me fit sourire. Malgré son humiliation, Maîtresse Karinne devait mouiller elle aussi.

  • Arrête, Karinne ! ordonna Maître André. Mets-toi à quatre pattes et toi, Marc, prépares-lui l’anus avec ta langue !

Il s’approcha de Maîtresse Karinne, lui ouvrit les fesses et il commença à la lécher et à lui masser la rosette avec un doigt ; on entendait des gémissements de plaisir de Maîtresses Karinne .

  • Bon, c’est assez comme ça ! Marc, mets-la comme une salope, comme une chienne en chaleur ! Il ne se fit pas prier, il prit sont sexe bien dur dans une main et le dirigea vers l’orifice fessier et d’un grand coup comme s’il voulait la défoncer, il rentra dedans. Un cri strident se fit tout de suite entendre, ce qui n’abaissa pas le fougue de mon Maître qui y allait de plus belle. Il était tellement excité qu’il déchargea très vite en elle. Il se retira, se demandant qui allait le nettoyer. Maître André perçut son tourment et il m’enjoignit :

  • Bon, Irène, tu vas aller nettoyer ton Maître ! Maître André se rhabilla, toujours avec son érection, et il nous dit :

  • Bien, mes amis, je vous remercie pour cette charmante veillée, mais on m’attend ailleurs. Toi, ma douce Irène, je te laisse à tes b o u r r e a u x...

Il partit en riant comme un homme sadique qui imaginait ce qui allait m’arriver. Après que j’eus nettoyé le sexe de mon Maître, Marc et Karrine se rhabillèrent comme pour cacher l’humiliation qu’ils venaient de subir. Moi, j’étais là, encore nue, ne sachant que faire et ni quoi penser, mais très anxieuse de découvrir la suite de cette étonnante soirée. Mon Maître me regarda, droit dans les yeux. Je baissai les miens, mon rôle de soumise me revint vite en mémoire. Comme un proverbe le dit : « Chassez le naturel, il revient au galop...; »

  • Bien, Irène, tu t’es bien amusée ce soir?

Pas un son ne sortit de ma bouche : j’étais gelée, muette, et là, j’avais vraiment peur ! Tout mon corps tremblait de crainte anticipative.

  • A genoux, chienne et réponds !

Maîtresse Karinne s’approcha de nous et elle tendit un fouet à mon Maître qui le prit aussitôt. Tout d’un coup, ils avaient repris leur assurance et moi, perdu la mienne, je me suis mise docilement à genoux. Je reçus un magistral coup de fouet sur le dos, jamais mon Maître n’avait fessé aussi fort.

  • Réponds, sale pute !

Incapable de répondre, la douleur me pénétrant trop, lui, la rage devint encore plus grande. Il me prit par le collier de chien que je porte toujours et il me traîna jusqu'à cette fameuse table sans aucune précaution ; il m’installa en croix et m’attacha. Là, une pluie de coups s’abattit sur moi, les cuisses, les seins, le sexe, tous eurent droit au fouet. Maîtresse Karinne intervint :

  • Arrêtes, Marc ! Elle ne tiendra pas le coup longtemps à cette cadence et moi, j’ai ma petite vengeance à prendre aussi !

Maître Marc s’arrêta, mais de mauvaise grâce. Il regarda Maitresse Karine et son masque méchant se transforma en sourire.

  • Oui, tu as raison, je te regarde ! Aller, vas, ça me calmera un peu, sinon je pourrais aller trop loin avec cette petite chienne...

Il alla s’asseoir et il prit un rôle de voyeur. Maîtresse Karinne vint vers moi, le même gode que je l’avais f o r c é e à utiliser sur elle-même à la main et une matraque de policier dans l’autre main.

  • Hé bien ! ma petite Irène, à moi tour de m’amuser !

  • Je vous en supplie, me suis-je lamentée. Je ne faisais qu’exécuter les ordres, Maîtresse, croyez moi, je n’ai pris aucun plaisir à tout cela !

  • Petite menteuse ! Tu mouillais comme jamais, je l’ai bien vu ! Je vais te corriger!

  • Vas, Karinne ! l’encouragea Marc. Donnes-moi un beau spectacle !

  • Avec plaisir, Marc !

Maîtresse Karinne posa la matraque et le gode sur la table, elle alla chercher un coussin, pour me le poser sous les fesses de manière à mettre tous mes orifices en évidence. Une fois ce coussin bien en place, elle se saisit du gode, elle m’écarta les lèvres vaginales et d’un coup bien sec, le fit pénétrer dans mon sexe.

Cette douleur, j’y étais cependant habituée et même qu’elle m’excitait et je recommençai à mouiller. Par la suite, elle prit la matraque et elle commença par la plante des pieds, un, deux, trois coups jusqu'à dix coups à chaque pied. A chaque coup, la douleur devenait plus intense. Karinne monta la matraque sur mon corps entre mes cuisses d’une manière suggestive. Toujours le gode dans ma chatte, elle se mit à donner des coups avec son instrument de t o r t u r e sur le godemiché, ce qui ne fit que l’enfoncer plus profondément et me tira des cris de douleur. Je la suppliais d’arrêter, implorant leurs pardons à tous les deux, mais il n’y avait rien à faire, mes supplications ne faisaient que les exciter encore plus. Maîtresse Karinne demanda à mon Maître de venir l’aider. Il s’approcha et elle lui demanda d’écarter mes fesses pour mieux voir mon anus. Ce qu’il fit avec une grand sourire, il me regardait même dans les yeux en le faisant ; je voyais bien que j’étais descendue bien bas dans son estime.

  • Vas-y, Karinne, décréta-t-il. Elle est prête !

Maîtresse Karinne pris sa matraque, la dirigea vers mon anus et elle la fit pénétrer doucement, mais fermement et profondément ; au début, ça ne me fit pas trop mal mais ce n’était que le commencement. Elle fit un va-et-vient ce qui me fit très mal car aucune préparation n’avais été faite et mon anus n’avais pas été dilaté. Je criais, me tordais de douleur et je vis que mon Maître, à son regard, devenait un peu soucieux de me voir comme cela. Jamais il ne m’avait entendu crier de la sorte, mais il n’intervint pas toute suite, Maîtresse Karinne s’en donna à coeur joie à me bourrer le cul, comme elle le disait si bien. Je sentis un liquide chaud couler sur mes fesses.

  • Arrêtes, Karinne ! hurla mon Maître. Là, c’est toi qui va trop loin, regardes elle saigne abondamment !

Il lui prit le bras qui tenait la matraque et il la repoussa v i o l emment. Il prit soin de me retirer la matraque qui sortait de mon anus plein de s a n g . Il m’enroula dans une couverture, moi j’étais incapable de dire un seul mot ou même de pleurer ou crier ; juste de petits gémissements, très faibles, sortaient de ma bouche.

Il ordonna à Maîtresse Karinne de lui ouvrir les portes pour qu’il puisse me ramener chez lui et me donner aux bons soins de la gouvernante.

Arrivés à bon port, celle-ci me donna un somnifère, après avoir pris soin de soigner mon anus et je m’endormis bien vite...

  • Irène, Irène !... Réveilles-toi, c’est l’heure d’aller au boulot !

Je m’étirai, regardai Marc, mon mari et lui dis :

  • Oh ! Marc, si tu savais le mauvais rêve que j’ai fait toute la nuit, je suis encore en sueur !

  • Tu me conteras plus tard, tu n’as pas le temps tout de suite, je dois partir moi aussi !

Marc embrassa sa jeune épouse Irène et il partit travailler, laissant son épouse songeuse...

Une femme qui vie très bien sa soumission

Nom : Marylou

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